Boris Vian, les poissons et moi


Chers lecteurs,

L’autre jour, me suis éveillée au milieu de la nuit avec tout un tas d’idées. Vous savez, le genre d’idées qui sont absolument fantastiques à trois du matin, mais qui perdent toute leur superbe à huit heures trente-neuf…

Cette fois, je ne suis pas démontée j’ai ouvert un nouveau carnet et j’ai tout noté dedans. 

Donc voilà, j’ai commencé à écrire un roman une nouvelle quelques lignes.
Ça parle d’une chaise, d’un verre d’eau et de Boris Vian. Je ne sais pas encore s’il vont interagir. Peut-être que la chaise se noiera dans le verre d’eau après avoir lu L’Écume des jours. Ou peut-être que Boris Vian boira une chaise assis dans un verre d’eau, je suis certaine qu’il en aurait été capable. 

Bien évidement, je vous tiendrai au courant de l’avancée de mon œuvre. Pas trop tout de même, pour ne dévoiler le suspense. 

Sinon, la semaine prochaine aura lieu le tirage à la courte paille du Goncourt et du Renaudot. Vous savez sans doute que David Foenkinos est sur le point de remporter le premier et Amélie Nothomb le second. Ce qui reste de Louis-Ferdinand doit se retourner dans sa tombe. 

Sachez également, que, même si je ne l’ai pas lu (mais Fleur Pellerin non plus, rassurez-vous) La Musique des illusions de Jean-Marc Moura doit être très bien. Et je ne dis pas ça parce que M. Moura était mon prof de littérature francophone préféré, j’ai toujours été plus poisson-banane que poisson-scorpion (la faute à mon père, encore)(et à Frédéric Beigbeder, mais j’assume moyennement).

Comme souvent je n’ai pas de chute et je ne sais pas de quoi nous parlerons la semaine prochaine. Mais vous pouvez revenir, vous serez bien accueillis si vous apportez des madeleines. 

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire