Jean-Pierre Jeunet, les vaches et moi


Chers lecteurs, 

cette semaine, je n’ai rien à dire. 

Que voulez-vous, on ne peut pas influencer le prix Nobel tous les jours. 

J’ai tout un tas d’histoires à vous raconter mais je n’ai pas eu le temps de les écrire. 
Pour être franche, le temps je l’aurais eu si je n’avais pas regardé (encore une fois) Amélie Poulain en ingurgitant des kilos de riz-au-lait. 

Je reviendrai donc vers vous la semaine prochaine, avec des aventures passionnantes. 
D’ici là, take care, comme ils disent Outre-Atlantique.


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